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Marie-Thérèse Eychart, adjointe au maire du 1Oème, lors de l’inauguration de l’exposition consacrée à Elsa Triolet.
Un peu d’histoire : cette célébration fut proposée pour la première fois en 1911 par Clara Zetkin, dans une perspective révolutionnaire, les femmes étant considérées comme les plus exploitées. Les manifestations se multiplièrent les années suivantes. C’est en Russie, en 1917, qu’une grève générale des ouvrières de Saint-Pétersbourg ancra une tradition qui, dès 1945, se répandit dans le monde entier. La France reconnaît officiellement cette fête en 1962 et les Nations Unis en 1977.
Cette année, la Mairie de Paris a choisi de faire connaître des femmes créatrices. A l’initiative de Marie-Thérèse Eychart, la Mairie du 10ème a donc présenté une exposition, Elsa Triolet et ses romans, qui a rappelé combien cette femme, d’origine juive et russe, devenue française de cœur et épouse d’Aragon, fut un écrivain de talent.
Au programme également deux spectacles de théâtre (« Histoire de Femmes » et « Féminité perpétuelle ») ont contribué à mener une réflexion sur la situation de la femme hier et aujourd’hui. Par ailleurs, un débat « Femmes et Mondialisation »apermis de faire le point sur l’actualité internationale des luttes.