A l’issue de plusieurs réunions entre le ministère de l’immigration et la CGT, la situation des travailleurs sans papiers est en voie d’évoluer positivement.
Le 24 novembre dernier, le conseil de Paris a voté, à une large majorité, la remunicipalisation du service de l'eau. A cette fin, il a décidé de créer une régie autonome qui jouera le rôle d'opérateur unique dans ce secteur.
Le 27 novembre dernier, s’est tenue la première réunion du groupe de travail chargé du suivi du plan d’action de la SEMAEST (Société d’Economie Mixte d’Aménagement de l’Est de Paris).
Grâce à la large mobilisation des enseignants, des parents et des lycéens, M. DARCOS a été contraint, à la mi-décembre, de reporter son projet de réforme des lycées.
Une régie de quartier est une entreprise de services rattachée à l’économie solidaire.
Elle peut intervenir pour l’entretien d’espaces publics ou privés, de places ou de jardins, la maintenance ou la réfection de bâtiments ( peinture par exemple) ou des travaux divers et variés, comme la distribution d’imprimés pour le compte d’une administration ou d’un partenaire privé, etc.
Nous avons voté contre le vœu des élus de droite (vœu déposé dans plusieurs mairies) proposant d’apposer sur la façade de la Mairie le portrait du soldat franco-israélien, Gilad Shalit, prisonnier du Hamas.
Une délégation d’élus (Alain Lhostis, conseiller de Paris et Marie Thérèse Eychart, adjointe au maire du 10ème) et de responsables du PCF et d’habitants du 10ème, a été reçue par un conseiller de Madame Boutin, ministre du logement et de la Ville.
Le problème de la liaison des quartiers nord-est de l’arrondissement avec le centre et particulièrement avec la mairie est posé depuis plusieurs dizaines d’années puisqu’il fut revendiqué, par les habitants, la création d’une mairie annexe.
Au sein de l’hôpital Saint Louis, le carré historique et son jardin, l’un des rares espaces verts de ce quartier, en font un site exceptionnel fort apprécié des malades et de leur famille en visite, mais aussi des habitants de l’arrondissement.
Le 25 novembre est devenue la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Sait-on que tous les deux jours et demi une femme meurt sous les coups de son conjoint ? Qu’à Paris plus de 3 200 cas de violences au sein du couple ont été recensés par la Police en 2007, alors que seulement huit femmes sur 100 victimes de violences passent la porte du commissariat ?
