Deux ans après l’assassinat de trois militantes Kurdes dans le 10ème arrondissement, un nouveau crime politique a stupéfait toute la France.

La mort des dessinateurs de Charlie ne peut être qualifiée que d’une seule manière : c’est un acte fasciste contre la liberté d’expression, d'une presse engagée, outil indispensable de notre démocratie. Nous n’oublions pas non plus les autres victimes de cette haine : correcteur, agent d’entretien, invité de Charlie, les policiers, les clients du magasin kascher.

Les communistes tiennent à rappeler que nombre de ces dessinateurs étaient engagés contre le racisme, pour la paix et la liberté de conscience et d’expression, mais aussi pour une société plus égalitaire.

Ils collaboraient régulièrement avec le Parti Communiste, l’Humanité, la CGT ou des réseaux militants comme RESF.

La lutte contre l’obscurantisme et la barbarie doit maintenant s’attaquer aux racines du mal, à tout ce qui rejette de jeunes français dans le fascisme religieux.

C’est bien en pratiquant une politique qui donne à chacun sa place dans la société, en plaçant l’émancipation humaine et la coopération internationale au cœur des choix que l’on pourra casser ces mécanismes qui conduisent à l’extrémisme. C’est ce que Charb portait lorsqu’il disait « le communisme, c’est la solution à la crise ».

Une analyse plus complète est à lire sur le site pcfparis10.fr