Pour combattre la pandémie, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), a mis en place un mécanisme appelé COVAX. L’idée est simple : la pandémie étant mondiale, il est nécessaire qu’elle soit combattue avec la même efficacité sur tous les continents. Mais, on le sait, tous les pays ne disposent pas des mêmes moyens.
Mesure après mesure, se met en place en France tout un ensemble de dispositions qui portent gravement atteinte aux libertés.C’est une longue construction.
« La maison brûle …. Et nous regardons ailleurs », cette célèbre harangue de Jacques Chirac prononcée lors du sommet mondial sur le développement durable de Johannesburg de 2002, est plus que jamais d’actualité.
Depuis, si la conscience du péril qui nous guette a grandi, les solutions ne sont toujours pas au rendez- vous.
Mesure après mesure se met en place en France tout un ensemble de dispositions qui portent gravement atteinte aux libertés. C’est une longue construction.
Deux informations récentes viennent se télescoper et faire douter des propos lénifiants du Président de la République sur sa volonté d’impulser des changements dans sa politique.
Le premier, révélé par l’Humanité du 24 Avril, évoque le hold–up de 30 millions d’euros réalisé par l’Etat sur la réserve de « L’Agence Nationale des Chèques Vacances ».
Pour les communistes, la déclaration du Président de la République du 13 avril 2020 suscite de nombreuses questions. Alors que le bilan de la crise sanitaire liée au Covid-19 dépasse désormais les 15 000 morts, Emmanuel Macron s'est contenté d'annoncer une date de sortie de confinement, sans exposer de stratégie claire pour permettre aux Français de sortir en toute sécurité.
En pleine crise sanitaire, et alors que l'on se questionne sur le "jour d'après", la Caisse des Dépôts a rédigé le 1er avril 2020 une note sur l'avenir de la santé publique en France. Une note préparée à la demande de l'Elysée. Loin d'être un poisson d'avril, cette note a de quoi inquiéter les personnels soignants et les citoyens.
Le virus Covid-19 s'est propagé autour de la planète à la vitesse que lui permettait une mondialisation effrénée où tout doit circuler à vitesse grand V : les capitaux, les marchandises, les armes... et même les virus.