Billet d'actu

La mobilisation contre le projet de loi du travail s’élargit et monte en puissance tous les jours. La pétition citoyenne qui demande son retrait a dépassé largement le million de signataires.

8 syndicalistes CGT de Goodyear ont été condamnés à 24 mois de prison, dont 9 fermes. Leur crime ? Avoir retenu 2 patrons pendant 30 heures.

Les déclarations des  150 chefs d’États et de gouvernements, une fois la photo symbolique prise, se sont succédées avec plus de questions que de réponses.

Des fanatiques viennent de frapper durement nos quartiers. Leur but est simple : nous terroriser pour nous dresser les uns contre les autres. Qu’après les attentats de janvier dernier, ils s’attaquent aux habitants des 10ème et 11ème arrondissements n’est pas anodin.

Depuis son élection, François Hollande est allé de renoncements en renoncements : dès 2012 signature du pacte européen, en 2013 expulsion de jeunes scolarisés sans papiers, en 2014 abandon du repos dominical, sans compter les multiples « cadeaux » faits au patronat chaque année depuis le début de la mandature.

A partir du 1er  septembre 2015, la tarification du Pass Navigo en 5 zones est supprimée. Elle est remplacée par un tarif unique à 70 € permettant à tous les franciliens de se déplacer partout dans leur région.  Les jeunes scolaires et étudiants bénéficient d’un demi-tarif  à 30 € pour la carte Imagine’R. Une réponse à la fracture territoriale au sein de la région.

Depuis la nomination du gouvernement Tsipras en janvier, les dirigeants européens n’ont cherché qu’à poursuivre l’asphyxie financière de la Grèce. Ils voulaient la tête de Tsipras, symbole d’une alternative à l’orientation actuelle de l’UE au service des marchés financiers.

L’argent coule à flots, mais pas dans la poche des salariés, ni dans les budgets des collectivités publiques. Non, l’argent coule à flot dans les coffres des multinationales.

Après plus de 10 mois de lutte, les grévistes du 57 boulevard de Strasbourg ont appris vendredi 3 avril leur régularisation.
Une grande joie pour les 18 coiffeuses et manucures qui, le 22 mai dernier, ont décidé de relever la tête et de dénoncer le système mafieux qui les opprimait sur le boulevard de Strasbourg.