Billet d'actu

La Grèce s’est donnée le 25 janvier de nouveaux représentants, un nouveau gouvernement pour mettre en œuvre d’autres choix économiques et sociaux. Mais cela heurte les intérêts de ceux qui étaient aux commandes de la Grèce jusqu’à ce jour et qui continuent à gouverner l’Europe : les marchés financiers et leur sacro sainte rentabilité.

Dans notre quartier depuis huit mois, des femmes et des hommes, au mépris du danger encouru, ont relevé la tête pour dire non à cette forme d’esclavage moderne qu’est l’exploitation de travailleurs sans-papiers, arrimés à la tâche des journées de 10 heures ou plus et qui ne sont payés que selon le bon vouloir de celui qui leur a procuré ce « travail ».

 Notre peine est immense. Elle est à la mesure de cet acte ignoble. Jamais nous ne pourrons tolérer que des hommes meurent pour avoir dénoncé les fanatismes.

Par les effets conjugués de la politique d’austérité du gouvernement et de l’aggravation de la crise, il manque 400 millions au budget de la ville de Paris.